Le billet précédent me permet d’une part d’inaugurer une nouvelle rubrique consacrée aux répliques de films les plus drôles ou les plus percutantes, ou du moins les bons mots qui ont su me divertir agréablement, et d’autre part de faire découvrir à mon lectorat une autre facette de ma personnalité, en amenant la discussion vers une autre de mes passions : le (bon) vin…
Si je n’ai pas beaucoup posté de billets cette semaine, ce n’est pas à cause d’une subite pénurie de films sur les écrans – j’ai déjà trois critiques en retard – ni des problèmes rencontrés cette semaine dans les transports en commun – un incendie, deux suicides, pardon « accidents graves de voyageurs », et des « actes de malveillance » en tous genres… Non, si je n’étais ni dans les salles obscures, ni devant mon écran d’ordinateur, c’est que, comme chaque année, un peu de la Bourgogne a débarqué dans la capitale, le temps d’une dégustation privée dans les salons de l’hôtel Napoléon, où trois vignerons indépendants ont présenté leurs nouveaux crus à leurs clients parisiens.
Pour faire honneur à mes racines bourguignonnes, je ne pouvais pas manquer l’occasion d’aller goûter ces divins breuvages, en compagnie d’amis connaisseurs ou néophytes (pour moi, le vin est forcément un plaisir à partager, un instant de convivialité…).
Blancs et rouges étaient excellents. Cette année, j’ai craqué pour un Nuits-Saint-Georges 1er cru « les Saint-Georges » 2006, pour un Volnay 2006 et pour le Chassagne-Montrachet blanc « Morgeot » 2006. Mes papilles ont apprécié…
Merci, donc, aux trois viticulteurs et au producteur de foie gras qui les accompagnait, pour la qualité des dégustations proposées.
Ci-après les adresses de leurs sites web :
(Il n’y a pas de site pour le domaine Remoriquet, mais si vous passez par Nuits-Saint-Georges, il se fera un plaisir de vous faire découvrir ses vins)
Merci aussi à mes compagnons oenophiles pour ces deux soirées : le pote PaKa, qui a su se tenir, cette année – il n’a pas demandé dix fois à re-goûter au Vosne-Romanée – Poops, Ad, Bérange et Caro, initiée aux vins de Bourgogne.
Hips… Je vais tranquillement décuver, et après, promis, on reparle de cinéma…
Hihihi, ce n\’est pas vraiment ke j\’ai su me tenir, c\’est surtout ke le Vosne-Romanée de cette année n\’était pas aussi fin, subtil, et surprenant en bouche ke certains crus ke nous avons eu la chance de déguster…
…mais t\’inkiète : je me suis ratrappé sur bien d\’autres vins !
Aaaaaaah, la Bourgogne, kelle belle région…
Oui, j\’ai bien vu que tu t\’es rattrapé sur d\’autres vins ! Mmmmm… Sympâââ ce p\’tit Nuits Saint Georges ! C\’est vrai qu\’à côté de ce vin très fruité qui explose en bouche, le Vosne-Romanée paraissait fade…